Après Thomas Godard, c’est Frédéric Dumonteil qui rejoint l’équipe de l’entreprise finistérienne OSO-AI, société deeptech pionnière de l’Ambient Intelligence au service des personnes vulnérables et du personnel soignant. Recruté au poste de Responsable du développement international Japon, il a en charge le déploiement commercial de la solution innovante l’Oreille augmentée des Soignants dans ce pays « en pointe dans les technologies de rupture de la Silver Economy et sur le sujet du bien vieillir ».
Frédéric Dumonteil a vécu au Japon pendant plus de 20 ans. Il y a occupé la fonction de directeur filiale et directeur commercial Asie-Pacifique pour le compte de plusieurs groupes, « chargé de leur implantation et de leur développement international dans les secteurs de l’agroalimentaire, pharmaceutique et du digital », précise le communiqué.
Un marché porteur… et demandeur
C’est donc en terres connues qu’il développera le marché d’OSO-AI dans cette partie de l’Asie. « La part des personnes de plus de 75 ans représente près de 22% de la population japonaise, soit environ 22 millions de personnes, ce qui représente un véritable enjeu pour la prise en charge des personnes fragiles et dépendantes. Parallèlement, les établissements pour personnes âgées et handicapées font face à des pénuries de main d’œuvre sévères, en raison des bas salaires et du vieillissement de la population. La technologie de pointe développée par OSO-AI, respectueuse des résidents et des soignants, dispose de nombreux atouts pour s’imposer là-bas comme un outil de référence dans le suivi des personnes fragiles et dépendantes », témoigne Frédéric Dumonteil.
Une opportunité à ne pas manquer
« Notre développement commercial au Japon marque une étape cruciale de notre histoire. Depuis Brest, OSO-AI est parvenu à se développer très rapidement sur la quasi-totalité des régions de l’hexagone et a entamé il y a peu des démarches dans les pays limitrophes. Toutefois, il nous est rapidement apparu que le Japon, par ses spécificités démographiques et son appétence pour les technologies innovantes, représentait une opportunité à ne pas manquer. Avec l’arrivée de Frédéric, il nous tarde maintenant de concrétiser les premières implantations », conclut Olivier Menut, CEO d’OSO-AI.