Le cabinet Abaka lance la première plateforme d’aide à la décision en Ressources Humaines (RH) dont les diagnostics sont entièrement gratuits. Objectif : aider les entreprises de l’Ouest à rebondir et opérer les bons choix lors de la refonte de leur organisation.
Marie-Laure Collet dirige Abaka, un cabinet de recrutement et conseil RH implanté à Rennes, Paris, Nantes ou encore Caen. Avec un effectif global de 37 salariés, elle a décidé d’offrir, par solidarité, une partie de son expertise aux entreprises bretonnes et plus largement du Grand Ouest.
Pour mener les actions RH les plus efficaces, l’équipe d’Abaka a créé une plateforme d’aide à la décision dédiée au contexte de crise, adaptée à chaque entreprise. Dans un premier temps, celle-ci sélectionne la situation actuelle dans laquelle elle se trouve : « l’activité est impactée, elle doit réduire son effectif ; l’activité tourne au ralenti et elle doit piloter à vue ; l’activité est préservée mais elle doit penser à l’organisation d’après ».
Démarche solidaire
A chacune des problématiques rencontrées, les entreprises découvrent des réponses adaptées. « Il s’agit d’un premier retour extérieur qui permet aux dirigeants ou aux responsables RH d’être guidés ou confortés dans leurs choix, indique Marie-laure Collet. Nous savons que beaucoup de dirigeants sont pleinement mobilisés sur leur organisation pour tenter de relancer leur activité. Notre plateforme leur délivre une première analyse gratuite, puis nous sommes à leur disposition pour aller plus loin et résoudre ensemble leur problématique».
Abaka conseil RH est membre de plusieurs réseaux, dont Produit en Bretagne qui s’appuie sur l’emploi et la solidarité. « C’est pourquoi, poursuit Marie-Laure Collet, il me semble essentiel dans ce contexte inédit de contribuer modestement, au redémarrage économique de la Bretagne. Exercer son activité avec éthique et responsabilité c’est aussi ce que je demande à mes collaborateurs. Chacun doit donner de son temps, car nous sommes tous solidaires, socialement responsables de la vitalité de l’économie bretonne. C’est encore plus vrai en période de crise ».
