Trois startups, sélectionnées par l’association Breizh Amerika (15 membres actifs), ont passé une semaine dans un incubateur à New York. Les Finistériens de la French Tech Brest+, B-Sensory (contenus numériques pour objets connectés, Brest), NDMAC (tireuses à bières conenctées, Quimper) et le rennais Klaxoon (box de partage d’informations) en reviennent boostés.
Sur 46 dossiers reçus de la toute la Bretagne, un jury de pdg bretons et américains en ont sélectionné trois. Agréablement surpris par la diversité et la vivacité des startups bretonnes, Charles Kergaravat, président de Breizh Amerika et initiateur du concours, renouvellera cette initiative en 2017. « Nous organiserons un petit pitch entre les 10 dossiers suivants non retenus, le 9 août, lors du festival interceltique de Lorient, avec des prospects anglo-saxons. »
Revenue tout juste du CES de Las Vegas en janvier, Christel Le Coq a trouvé une nouvelle énergie à New York. Sa startup B-Sensory est en phase de production du sex-toy connecté Little Bird. « L’international faisant partie de notre ADN, cette expérience en incubateur new yorkais m’a permis de répondre à des questions très concrètes comme les visas, le temps, les coûts. Nous sommes désormais en phase de structuration pour l’export. »
Sur 46 dossiers reçus de la toute la Bretagne, un jury de pdg bretons et américains en ont sélectionné trois. Agréablement surpris par la diversité et la vivacité des startups bretonnes, Charles Kergaravat, président de Breizh Amerika et initiateur du concours, renouvellera cette initiative en 2017. « Nous organiserons un petit pitch entre les 10 dossiers suivants non retenus, le 9 août, lors du festival interceltique de Lorient, avec des prospects anglo-saxons. »
Revenue tout juste du CES de Las Vegas en janvier, Christel Le Coq a trouvé une nouvelle énergie à New York. Sa startup B-Sensory est en phase de production du sex-toy connecté Little Bird. « L’international faisant partie de notre ADN, cette expérience en incubateur new yorkais m’a permis de répondre à des questions très concrètes comme les visas, le temps, les coûts. Nous sommes désormais en phase de structuration pour l’export. »