
« Cette collaboration constitue une étape décisive dans notre stratégie de développement sur le territoire européen et nous permet de jouer un rôle actif face aux grands défis du traitement de l’eau, dans une démarche de préservation durable des ressources », souligne Daniel Roy, directeur général de Maximus dans un communiqué de presse. Avec plus de 30 ans d’expérience combinée dans les domaines de l’agriculture et du développement informatique la société, implantée à Montréal au Canada, a rejoint en 2021, le groupe international irlandais Ingersoll Rand (IR). Son chiffre d’affaires s’élevait alors à 40 millions de dollars canadien et l’effectif à une centaine de personnes.
Surveillance de la qualité de l’eau en temps réel
La solution proposée conjointement avec Océne, filiale du groupe Keralia (Fougère-35), présidé par Jean-Philippe Crocq « permettra une surveillance en temps réel d’un certain nombre de critères (débit,pression, température, pH, chlore, conductivité, redox…), une collecte de données précise et des analyses personnalisées pour améliorer la performance des exploitations« , confirme Thibault Larbaigt, directeur général de Keralia (CA : 15M€ et Effectif : 120 peronnes) . « En combinant notre expertise en traitement de l’eau à la technologie avancée de Maximus, nous offrons aux producteurs une solution puissante, intégrée et résolument tournée vers l’avenir ». Depuis 1976, Ocène accompagne plus de 13 000 agriculteurs dans la gestion de l’eau sur leur exploitation. Reconnue pour son savoir-faire en traitement, réutilisation et sécurisation de la ressource, le Breton continue d’innover. En 2024, à l’occasion du Space, il avait déjà lancé Ekorain, une solution qui permet de réutiliser l’eau de pluie traitée pour l’abreuvement des animaux d’élevage. Les premières installations sont en cours de déploiement.