« Nous avons réinventé l’exercice », souligne Estelle Gallais Blanchet, responsable du pôle recrutement et de la marque employeur chez Eureden, et co-animatrice des Ateliers Bretons de l’Emploi sur le Finistère-Nord. Le 26 mars prochain, Produit en Bretagne, France Travail Bretagne et le CREPI Finistère coorganisent une soirée événementielle au carrefour des carrières et des opportunités professionnelles. Ouvert à tous, l’événement réunira des entreprises qui recrutent et des personnes qui aspirent à un changement dans leur vie professionnelle, un nouveau challenge voire une possible reconversion.
« Au cours de la soirée, ce sont les recruteurs qui feront le premier pas », explique Alexandre Ebner, DRH et secrétaire général du Groupe Asten, co-animateur des Ateliers Bretons de l’Emploi sur le Finistère-Nord. « Nous leur avons aussi demandé de travailler différemment leur présentation et leur CV sur le site internet créé pour l’occasion. Nous ne sommes pas sur une description basique de l’activité d’entreprise, mais sur le sens et les valeurs qu’elle véhicule. » Un exercice qui exige de la transparence selon Estelle Gallais Blanchet : « On doit être transparent et tout doit être vérifiable. Si on annonce des choses qui ne sont pas vraies, on est vite rattrapé et c’est contre-productif pour l’entreprise et son image. Donc transparence et sincérité. » Voilà pour le ton de la soirée.
Témoignages de reconversions réussies
Pour le reste, tout est calé entre 18h et 21h avec la présentation d’une conférence inspirante pour commencer, animée par d’anciens sportifs de haut-niveau reconvertis à une vie économique plus classique. Suivie d’un temps d’échange et de rencontres autour d’un cocktail. « Les participants seront bien identifiés (candidats et recruteurs) pour faciliter les rencontres. Et des bannettes au nom de chaque entreprise seront à disposition pour ceux qui souhaitent y déposer leur CV », précisent les organisateurs.
Plus de vingt entreprises qui recrutent sont inscrites, et plus de 160 personnes dans le public. « Il reste une centaine de places. L’entrée est gratuite, mais sur inscription. »
