Fondé en 2005 à Rennes (Ille-et-Vilaine), Bretagne Télécom se présente comme un fournisseur de services cloud de téléphonie, d’interconnexion réseau et d’infrastructure informatique, avec un positionnement privilégié sur les segments du cloud privé et hybride. La PME, qui table sur un chiffre d’affaires 2020 de 24 millions d’euros, fait évoluer sa marque et devient BT BLUE. Objectif : élargir sa présence territoriale à tout l’arc Grand Ouest.
Avec son changement de nom, l’opérateur de services Cloud pour les entreprises affiche ses ambitions désormais bien au-delà des frontières bretonnes. « Nous ambitionnons de renforcer notre implantation dans toute la région allant de Rennes à Toulouse, en passant par Paris, que ce soit par le biais d’ouvertures d’agences ou d’opportunités de croissance externe. BT BLUE nous permettra ainsi d’être identifiés comme un fournisseur de solutions Cloud de référence sur ce territoire élargi et sera synonyme de la nouvelle dynamique que nous souhaitons opérer », indique son fondateur et dirigeant, Nicolas Boittin.
BT Blue revendique près de 3 000 clients, principalement PME et ETI mais aussi des grands comptes implantés sur le territoire français. Grâce à son réseau privé de 8 Data Centers interconnectés dont un Data Center propriétaire à Châteaubourg (certifié ISO 27001 et Hébergeur de Données de Santé), BT BLUE a su générer une croissance extrêmement rapide au cours des dernières années. Aujourd’hui, l’entreprise emploie plus de 110 collaborateurs et prévoit, en 2020, un chiffre d’affaires de 24 millions d’euros. En 2019, il s’élevait à 22 millions d’euros, en croissance de 22%.
« Nous avons choisi BT BLUE car ce nom renvoie aux racines bretonnes de notre entreprise Bretagne Télécom (BT) et ses couleurs s’inspirent de la force de l’Océan Atlantique. Nous souhaitions en effet donner un coup de souffle à notre marque en faveur d’une identité courte, percutante et positive qui inspirerait sécurité, sérénité et fiabilité ; autant de valeurs clés dans un environnement où les actes de cyber-malveillance sont sensiblement en augmentation et où la souveraineté de l’hébergement de données est aujourd’hui capitale, souligne pour sa part Réda Belouizdad, Directeur Marketing et Communication.