
Les Centres E. Leclerc expliquent qu’ils « n’achètent pas directement le lait aux producteurs, mais à des transformateurs. Ils ne participent en aucune manière à la fixation du prix du lait sur le marché. Conscients que l’importance de la crise nécessite de nouvelles mesures de régulation (quotas, aides, politique contractuelle) dont les effets risquent de ne pas être immédiats, les Centres E. Leclerc rappellent qu’ils ne sont absolument pas opposés, dans l’urgence, à ce que les pouvoirs publics prennent des mesures immédiates de revalorisation de prix (prix d’achat minimum) ou toute autre intervention dont l’Etat a la responsabilité.