Le gouvernement prévoit ainsi de soutenir l’internationalisation des PME et entreprises de taille intermédiaire en simplifiant notamment les procédures administratives mais aussi en améliorant la formation des entreprises agroalimentaires et les services de l’Etat aux contraintes spécifiques d’audit et d’agrément sanitaire des pays tiers. Le projet entend cibler les zones prioritaires et les marchés à potentiel afin d’asseoir la stratégie de conquête à l’international et de diversification de des exportations agroalimentaires françaises et valoriser à l’international la signalétique « France bon appétit ». le Gouvernement s’engage enfin à mobiliser les services de l’Etat, en France et à l’étranger, pour obtenir la levée des barrières techniques qui entravent l’accès de nos produits alimentaires à certains marchés tout en veillant à la nécessaire réciprocité des conditions d’accès à ces marchés.
Pour Nicole BRICQ et Guillaume GAROT « Ce plan d’action fixe des priorités mais il ne peut porter ses fruits que si les entreprises et partenaires de l’export se l’approprient et le mettent en œuvre (…) La France possède des atouts formidables dans ce secteur. Nous devons récupérer les parts de marché perdues ces dernières années afin de favoriser la croissance et l’emploi ».