Le 1er septembre, Franck Diaz, nouveau franchisé, a repris La Mie Câline de Saint-Malo, située en plein coeur de la ville, tout près de l’Anse des Sablons.
Après une douzaine d’années dans le secteur de l’agroalimentaire à un poste de gestion de production, Franck Diaz a décidé de se lancer dans l’aventure entrepreneuriale en se tournant vers la franchise. « Au-delà du concept de franchise, La Mie Câline m’a séduit par son esprit de famille, rassurant, sa proximité avec tous les membres du réseau », commente le franchisé. Le réseau La Mie Câline compte 225 points de vente en France dont 16 en Bretagne. Le chiffre d’affaires se réparti de la manière suivante : entre 15 et 20 % concerne la partie boulangerie, 30 %, la viennoiserie et le reste est partagé entre la sandwicherie, les produits traiteur et les boissons.
Franck Diaz rencontre La Mie Câline sur le salon de la franchise. L’apport pour intégrer le réseau est de 60 000 euros Après un premier projet d’ouverture de point de vente dans le sud de la France, c’est finalement en Bretagne que Franck Diaz pose ses valises, à La Mie Câline du centre-ville de Saint-Malo : « La rencontre avec l’équipe en place, en tout 11 collaborateurs, a été essentielle dans ma prise de décision. J’ai tout de suite ressenti cette, explique Franck Diaz.
David Giraudeau, Directeur Général de La Mie Câline, déclarait récemment auprès d’un confrère: « le métier de la boulangerie, traditionnellement présent dans les centres-villes, se déplace peu à peu vers l’extérieur des villes. Notre premier objectif est donc d’offrir davantage de proximité à nos clients et d’y associer des places assises, service désormais incontournable dans notre activité. Nous nous intéressons également au principe de vente à 360° car nos clients ne viennent plus seulement chez nous pour acheter une baguette, ils doivent pouvoir commander à distance, s’installer avec leur ordinateur dans le magasin en se connectant en wifi. Nous avons aussi expérimenté le service au volant qui permet à nos clients de passer commande sans descendre de leur voiture. Ce format de magasin n’a pas pour objectif de venir supplanter la relation humaine propre à tout commerce de proximité mais vient compléter l’offre existante».
