COPEX (56) s’ancre sur le marché international

La Russie, la Chine, l'Australie, le Kazakhstan,..., COPEX basée à Lanester est spécialisée dan la fabrication de presses hydrauliques destinées au recyclage des ferrailles, au traitement de déchets ménagers et industriels,. Elle réalise plus de 50% de son chiffre d'affaires à l'international , dans des pays émergents mais aussi les pays européens dont la Suède où COPEX vient de livrer une nouvelle presse cisaille compression latérale au groupe SSAB, principal producteur d'acier à haute résistance. Créée en 1948, COPEX s'est immédiatement spécialisée dans la presse cisaille hydraulique et s'est tournée vers les applications au secteur nucléaire dès 1988 et vers la construction de presses pour ordures ménagères type POM dès 1990 PME indépendante, COPEX est détenue à 70% par Frédéric Malin son président, et à 30% par Ouest Croissance. Son CA 2009 s’établissait à 18 millions d’euros pour un effectif moyen d’une centaine de personnes.
Taillée pour conquérir les marchés internationaux, la presse cisaille à compression latérale LIDEX 800 permet d'atteindre une production horaire de 37t/h

Destinées principalement au recyclage des métaux et au traitement des déchets ménagers et industriels, les presses hydrauliques qui sortent de l’usine de Lanester sont reconnues pour leur robustesse et l’intégration de technologies innovantes grâce à un savoir-faire industriel, un service client poussé et un bureau d’étude renforcé par une cellule de R&D. Un savoir-faire précieux que l’entreprise a choisi de maintenir, malgré l’arrêt brutal des commandes à l’international dès la fin 2008. « En 2009 dans un marché globalement baissier de 50 à 70 %, nous avons réussi à limiter à 10% la baisse de notre chiffre d’affaires (18 M€ en 2009) et avons choisi de privilégier l’activité à la rentabilité pour anticiper la reprise », déclare Frédéric Malin, président de COPEX. « En 2010, nous avons maintenu nos effectifs pour conserver le savoir-faire, maîtriser nos délais et miser sur l’innovation, même si nous avons souffert en début d’année, justifiant un repli d’environ 20% de la production » poursuit l’industriel breton. « Heureusement les prises de commandes sont devenues un peu plus satisfaisantes fin 2010 et laissent augurer une meilleure activité pour 2011, mais pour remporter la partie il nous faudra jouer la carte de la productivité et de la flexibilité afin d’offrir à nos clients des délais plus courts. Un argument devenu essentiel après de longs mois de reports d’investissement ».

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